CARTE BLANCHE A OLIVIER BLANCKART. TABLE RONDE AVEC DELPHINE COINDET ET DANIEL SCHLIER

11/01/2026

Horaires : de 15h30 à 17h00

Public :

Plein tarif / Tarif réduit : Gratuit dans la limite des places disponibles. Inscription sur place 30mn avant le début de la rencontre. Entrée exposition obligatoire : tarif 11 euros / réduit 9 euros

C’est à Olivier Blanckart que la Maison de Balzac s’est adressé pour imaginer cette table ronde. Qui de mieux placer que les artistes vivants pour s’interroger sur « le mystère de la création » ?

La parole leur est ainsi, naturellement donnée.

Olivier Blanckart occupe une place de choix dans nos collections et dans notre exposition, car l’artiste a, tout comme Picasso, interrogé le Balzac de Rodin, à qui il voue une immense admiration. Il s’est photographié en Balzac, dans une des postures choisies par Rodin, nu, bras croisés et pied en avant, même embonpoint et grimage en plus.
A travers cette carte blanche, nous aurons une version contemporaine des questionnements : génie créateur ou travail de titan ?
Olivier Blanckart est photographe et sculpteur. Il enseigne la sculpture à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Critique aussi, l’artiste est un polémiste, voire un provocateur. Au fil des années, il a créé une galerie de portraits de personnages historiques, dans la peau desquels, il se glisse véritablement, en se grimant, plus vrais que nature.

Delphine Coindet : Delphine Coindet vit et travaille aujourd’hui à Lausanne. Depuis les années 1990, Delphine Coindet développe un langage sculptural à travers des constructions constituées de matériaux et de techniques variés avec une prédilection pour l’assemblage. L’hétérogénéité de son monde est ouvert à la rencontre de techniques allant de l’ébénisterie à la métallurgie ainsi qu’aux arts sous toutes leur manifestationsdepuis l’architecture, le design jusqu’aux arts vivants.

Daniel Schlier : La peinture de Daniel Schlier se caractérise par son éclectisme : peintre, dessinateur, graveur et sculpteur. La toile, le marbre, le verre ou le bois sont autant de supports. Les formes singulières, organiques et grotesques, qu'il y fait apparaître sont mises au service d'un discours réflexif sur l'image. Daniel Schlier enseigne à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris.

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